Belles Âmes
Une association dédiée aux enfants vulnérables pour qu’ils ne soient pas définis par leurs blessures, mais révélés par leur potentiel.
Fondée par Laeticia Tchani, Belles Âmes transmet des outils de développement personnel aux enfants ayant vécu différentes formes de maltraitance… À travers des ateliers, des espaces d’expression et des actions de prévention, nous aidons chaque enfant à grandir en confiance, à guérir intérieurement, et à croire à nouveau en ses rêves, en sa valeur, et en sa capacité à se réaliser pleinement…
Vous pouvez aider de nombreux enfants en faisant un petit don.
Vos dons contribuent à :

Soutenir
Des espaces d’expression, de soutien, d’écoute et de valorisation.

Prévenir
Des ateliers éducatifs sur les émotions, le respect et la non-violence.

Fédérer
Cultiver l’écoute, l’empathie et l’humanité dans une société de plus en plus déshumanisée.

Situation de la maltraitance infantile
🌍 Situation mondiale
L’OMS estime qu’environ 1 milliard d’enfants âgés de 2 à 17 ans subissent chaque année au moins une forme de violence ou de négligence.
➜ Cela représente environ 1 enfant sur 2 dans le monde.
🇫🇷 Situation en France (2023)
En 2023, 3 victimes sur 4 (75 %) de violences physiques enregistrées par la police sont des mineurs, et presque toutes les victimes de violences sexuelles (96 %) sont des enfants ou adolescents.
⚠️ Sous-estimation importante :
Beaucoup de situations ne sont pas signalées, par honte, culpabilité ou peur de ne pas être cru.
🌀 Cycle de la violence et délinquance
Une étude longitudinale de Widom (NIJ) montre que les enfants abusés ou négligés présentent, plus tard dans leur vie, un risque accru de violence et de comportements violents :
- +59 % de probabilité d’être arrêtés mineurs,
- +28 % d’être arrêtés adultes,
- +30 % pour un crime violent, comparés à des enfants n’ayant pas subi de maltraitance.
La reproduction de la violence n’est pas une fatalité, mais elle demeure un risque majeur. D’où l’importance d’agir le plus tôt possible auprès des enfants exposés à la maltraitance, pour les guérir et leur offrir des perspectives positives. Quand la maltraitance ne mène pas à la délinquance, elle peut se traduire par une reproduction du cycle, avec un risque environ trois fois plus élevé que la génération suivante soit, elle aussi, victime de maltraitance. Dans d’autres cas, les jeunes ne commettent pas d’infractions, mais se retrouvent en échec éducatif, professionnel et social, avec un fort risque de précarité.
🔹84% des sans-abri ont subi des violences dans l’enfance.
🔹Selon la Cour des comptes, près de 50 % des jeunes sans-abri (18-25 ans) sont d’anciens enfants placés à l’ASE.
Ces constats mettent en évidence l’urgence de renforcer les dispositifs de prévention et d’accompagnement afin de briser le cycle de la violence et de garantir la sécurité et la protection de tous, condition essentielle à la construction d’une société plus stable et plus sûre.

Comment pouvons-nous les aider ?
Chaque don reçu permet de semer des graines de confiance, de conscience et de reconstruction chez les enfants les plus vulnérables.
Voici comment nous utilisons vos contributions :
